La gestion de collections patrimoniales

La thématique professionnelle que nous avons choisi de présenter est le fonds patrimonial, sa gestion et sa valorisation. En effet, la Médiathèque Jean Lévy (que nous vous présentons dans un autre article) et même le réseau de la bibliothèque municipale de Lille présentent une collection très riche relative au patrimoine.

Nous avons choisi cette thématique car les différents fonds patrimoniaux sont variés et qu’il serait intéressant de savoir plus précisément comment les médiathécaires gèrent et valorisent ces fonds au quotidien et quels sont les publics qui la consultent : s’il s’agit plus d’historiens, de chercheurs ou autres.

La gestion de collections patrimoniales

La gestion des collections demande aux bibliothécaires différentes compétences. Par exemple, il devrait avoir des connaissances juridiques et réglementaires sur le statut des collections, s’il s’agit d’un don, ou encore des conditions de diffusion. Quitte à devoir faire appel à un juriste pour approfondir une problématique ou pour réaliser des contrats ou des conventions, le bibliothécaire doit quand-même être au courant de l’actualité dans cet aspect-là des collections. Nous avons déjà pu aborder certaines notions juridiques comme les mentions de droit d’auteur durant le cours de droit.

La gestion des collections s’oriente vers trois aspects : le récolement qui est, naturellement, important, la prévention en matière d’accès, de signalement , de marquage ou encore être au fait de la disparition de documents ainsi que l’aspect déontologique. En effet les nouveaux professionnels doivent être sensibilisés à la déontologie afin de garder une impartialité dans la gestion du fond mais également afin de ne pas abuser de ces documents qui restent la propriété de tous et ne sont pas dépendants d’un seul être humain.

La conservation et la sécurité

La protection de notre histoire est l’une des préoccupations des métiers de la gestion de l’information. En effet, de nombreux documents ou objets sont détruits à cause des attentats ou des catastrophes naturelles. Tout cela doit donc être conservé et traité de sorte à sauvegarder les traces du passé. Pour aider à cette sauvegarde de pièces uniques, un organisme a vu le jour en 2001. Il s’agit du Comité Français du Bouclier Bleu (CFBB) celui-ci ayant pour but la conservation en cas de conflit armé ou de catastrophe naturelle [1]. Mais d’autres solutions sont également envisageables pour sauvegarder un maximum de documents.

Le plan d’urgence

Celui-ci consiste à réaliser une prévention et une prévision des dangers possibles et essayer de les contrer avant qu’il ne soit trop tard [2]. Les dangers qui sont les plus récurrents sont les inondations, les incendies et les séismes. Pour éviter ou, en tout cas, minimiser la dégradation de ces collections, on peut mettre plusieurs techniques sur pied. Par exemple, surélever les collections, laisser une hauteur de sécurité pour éviter qu’elles prennent l’eau. Mettre sur pied un plan d’évacuation prioritaire pour certains documents, jugés plus importants. Après, ce jugement peut-il vraiment être fiable ?

Mais qui s’occupe de créer ce plan d’urgence ? Depuis la loi française du 13 août 2004 relative à la modernisation de la sécurité civile, le devoir revient au maire de la ville ; c’est de sa responsabilité de prévoir ces fameux plans d’urgence pour ce qui est relatif au patrimoine. Ces plans se retrouvent dans les documents nommés « les plans communaux de sauvegarde » [3].

À partir de quand un document est classé dans un fonds patrimonial ?

Lorsqu’ils répond à plusieurs des caractéristiques suivantes : ancienneté, rareté, valeur. Un livre qui existe qu’en un seul ou peu d’exemplaires va être qualifié de « livre rare » ; cette catégorie reprend plusieurs documents tels que les dessins, les manuscrits, etc. Des livres d’époque ont été fabriqués avec du matériel fragile et spécifique (reliure) ou ont appartenu à des auteurs célèbres. Les collections issues du fonds patrimonial ne passeront donc jamais par l’étape du désherbage contrairement aux livres issus des collections courantes [4].

De quoi est composé le fonds patrimonial ?

Le fonds patrimonial peut être composé de fonds assez anciens, datant d’avant 1811. Il y a aussi des fonds en lien avec la bibliophilie qui date de l’époque contemporaine. On relève également des fonds, des dons, des legs provenant d’auteurs célèbres et des fonds locaux [5].

Types de documents du fonds

Livres anciens, manuscrits, sculptures, armes, cartes, photographies, plans, pièces quelconques, journaux, etc.

Missions de conservation du patrimoine

  • Préserver les documents vieux de plusieurs siècles
  • Conserver le passé pour le transmettre au futur
  • Garder des traces historiques (dessins, images, livres, manuscrits, etc.)

Problèmes liés à la conservation

Les collections patrimoniales sont des documents fragiles et ayant une grande valeur. De nombreux problèmes liés à la conservation des fonds patrimoniaux sont bien réels. Il est essentiel de conserver du mieux que l’on peut les documents mais aussi d’en avertir les futurs utilisateurs afin de leur permettre la consultation de ces précieux documents. Il y a de cela deux siècles, le papier était fabriqué à partir de bois ce qui le rendait très vulnérable. Suite à cela, le papier devint acide et se décomposait. De plus, les journaux de l’époque n’étaient pas de bonne qualité et cassaient très facilement. Il était donc difficile de conserver de tels documents. D’autres aspects viennent fragiliser le matériel du livre comme les reliures en cuir, les livres en cartons, etc. En effet, certains ouvrages réagissent excessivement à la lumière, ce qui provoque la disparition de l’encre et de la couleur. Il est donc conseillé de garder les documents à l’abri de la lumière, à une certaine température et un taux d’humidité relativement bas. Ajoutons aussi que l’humidité est le point faible des ouvrages et entraîne l’apparition de champignons et de moisissure. Mais diverses solutions sont mises à disposition afin de conserver au mieux les fonds de collections. Il faut donc avoir des notions en archivistique pour pouvoir traiter convenablement ces supports. C’est pour cela que dans le cursus bibliothécaire-documentaliste, on y retrouve des cours relatifs aux archives [6].

Il existe deux types d’interventions, les interventions préventives, qui consistent en un entretient courant des collections et le traitement curatif qui, lui, sera dans la réaction quand les documents sont déjà endommagés. Dans le cas de moisissure et de poussières, par exemple, cela doit se faire avec une brosse douce aux poils souples, un chiffon doux ou encore à l’aide de pinceaux. Toutes ces techniques manuelles sont, bien sûr, correctes mais ont le désavantage de faire stagner beaucoup de poussière dans l’air. La seconde option est d’aspirer l’air de manière mécanique avec des aspirateurs dotés de filtres et à puissance variable. Il en existe des portatifs ainsi que des fixes, les portatifs étant plus courants car moins coûteux.

La numérisation des collections patrimoniales d’une bibliothèque

L’ère d’internet a apporté de nombreuses améliorations et d’enrichissement quant à l’utilisation des techniques de numérisation en bibliothèque. En effet, les institutions se voient évoluer en même temps que les techniques, ce qui leur permet d’élargir la connaissance de leurs collections, notamment les fonds patrimoniaux. Lorsque l’on parle de livres anciens, on aurait tendance à penser qu’ils ne sont pas consultables de par leur fragilité et leur rareté. Mais une des ambitions de la bibliothèque est de valoriser ces fonds et de les rendre accessibles aux publics intéressés. Dès lors, des questions peuvent se poser afin de comprendre les démarches à effectuer lors de la numérisation des fonds patrimoniaux : Comment réaliser une numérisation ? Quels outils peut-on utiliser ? etc. [7]

Pour ce faire, la gestion numérique des collections patrimoniales tourne autour de deux objectifs intermédiaires :

  • La dématérialisation du document, ce qui fournit une production de données.
  • La possibilité de communication entre les données qui vont être créées avec un outil de consultation, pour le public ou les professionnels (les données ainsi que les métadonnées doivent être compatibles avec l’outil en question).

Les objectifs de la numérisation des collections patrimoniales se divisent en deux grandes catégories : d’une part nous avons la mise en valeur du patrimoine local. Cet aspect va viser principalement les bibliothèques territoriales et donc, l’institution que nous allons visiter, la Médiathèque Jean Lévy. D’autre part, nous avons l’ambition de constituer de vastes collections numériques, d’imprimés patrimoniaux à partir de ces diverses collections. Actuellement, la BNF et la bibliothèque municipale de Lyon sont en pleine création d’une bibliothèque numérique. Mais cette démarche est encore insuffisante. De nos jours, il n’y a que 42 % des fonds numérisés par les bibliothèques municipales en France. Concernant la bibliothèque municipale de Lille, une question ressort : « Combien de pourcentage de leur collection est numérisé ? ». En effet, la priorité pour l’État est l’augmentation de ces ressources en ligne et la promotion de la consultation libre et ouverte des ressources numériques et culturelles [8].

Techniques de numérisation des collections patrimoniales

Actuellement, la multiplicité des supports en matière de patrimoine pose de nombreuses problématiques. En reprenant les principaux supports, à savoir les textes imprimés, les disques, les aquarelles sur vélins, les objets divers, les photographies, les tirages papiers divers ainsi que les gravures, etc. On en ressort que les différents procédés de dématérialisation varieront forcément selon le type de support. Il faut donc envisager une étude au préalable.

Il est évident que les procédés de dématérialisation seront largement différents et devront faire l’objet d’une étude au préalable.

La numérisation est de deux ordres : on peut la réaliser dans un but de stockage et de conservation ou bien à des fins de transmission, voire les deux à la fois. En ce qui concerne les techniques de numérisation et de stockage, elles sont en constante évolution. Actuellement, on archive sur des disques durs de type RAID 5 ou 6 car ils permettent une grande capacité de stockage et donc un versement des données plus aisé. Les documents numérisés sont conservés dans un fichier qui permet sa pérennité et une résolution de 400 dpi. On remarque une tendance à abandonner le format JPEG au profit du format TIFF. Cet abandon est dû aux nouvelles exigences des utilisateurs qui veulent une meilleure résolution des images [9].

Politique de la valorisation des collections patrimoniales

La tâche de la numérisation en Belgique est entre les mains des entités fédérées qui sont en charge de la culture. En France, il s’agit des bibliothèques nationales et des coopérations numériques dirigées par la BNF. Concrètement, ce sont les maires qui doivent en prendre la charge et ce, depuis 1803. Elles ont pour but de numériser ces archives écrites et de les diffuser à travers différents canaux [10,11].

Valorisation des collection

Pourquoi la valorisation est-elle importante ? Le but d’une bibliothèque est de fournir aux usagers l’accès à l’information même si l’accès aux documents patrimoniaux est difficile. Cependant, les collections patrimoniales doivent être traitées et mises en valeur comme n’importe quel autre document. Cette valorisation s’effectue dans les buts de diffusion, de donner l’accès au savoir, de justifier l’existence de certains fonds et de montrer que des documents sur ces sujets sont disponibles. Pour valoriser une collection, il existe plusieurs méthodes. Dans un premier temps, on souhaite donner accès aux utilisateurs. Il faut procéder à la mise en ligne sur des plateformes spécialisées ou encore rédiger des ouvrages scientifiques sur les différents fonds ou tout simplement organiser des colloques.

Les portails en ligne :

  • Culture et patrimoine (Franche-Comté) : cette plateforme renvoie vers diverses institutions qui sont relatives aux sujets recherchés mais également la recherche dans 6.500 études, 60.000 photographies et plus de 5.000 bibliographies sur des thèmes divers et variés [12].
  • Gallica dispose actuellement de 4.203.731 documents consultables en ligne. Ce catalogue permet la diffusion de documents patrimoniaux à un large public car ceux-ci sont numérisés ou en cours de numérisation par la BNF [13].
  • Bibliothèque numérique de Lille : elle met à la disposition des usagers une partie de leurs collections numérisées [14]

Les expositions représentent une autre solution pour valoriser les collections consistant à réaliser une exhibition de celles-ci. Ces expositions permettent la diffusion et l’accès à un public plus large.

Les rédactions scientifiques : Des rédactions sont souvent écrits grâce à ces documents patrimoniaux que ce soit sous forme d’articles scientifiques, de thèses, de mémoires, d’articles sur une thématique particulière, …

Les nouveaux enjeux

Bibliothèques et formations

Les bibliothèques doivent de plus en plus s’informer sur la question des collections patrimoniales et se former aux nouveaux usages dans ce domaine. La tendance actuelle vise à disposer de professionnels qualifiés et à jours pour s’occuper des collections patrimoniales. On s’est rendu compte que la gestion de fonds aussi précieux nécessitait des compétences spécifiques et que donc une attention toute particulière devait leur être portée.

Sélection des collections patrimoniales

La sélection des collections patrimoniales est plutôt abstraite dans la tête de beaucoup de personnes et à juste titre. En effet, à partir de quand une collection revêt-elle un intérêt suffisant pour être placée à ce titre dans un fonds spécial ? Pour cela et éviter que tout vieux document tombe immédiatement dans une case « patrimoniale », des règles de sélection et d’acquisition ont été établies.

La nouvelle tendance dans ce domaine est de plus axer l’intérêt sur le contenu que le contenant, sur l’information plutôt que sur le support. Pour cela, une approche théorique doit être effectuée en prenant les documents à conserver absolument et en ayant une approche analytique s’axant plus sur le contenu se trouvant à l’intérieur de ces documents. Ces différentes questions ont permis l’apparition progressive de normes et recommandations.

Il existe trois axes définissant l’intérêt que peut avoir un document :

  • Si le document est une source majeure de l’histoire,
  • Si le document est une trace de diffusion de courants culturels, littéraires ou scientifiques,
  • Tous les ouvrages pouvant paraître anodins peuvent se révéler avoir de l’importance

Un document, outre ces différents aspects peut prendre de la valeur au fur et à mesure. Et cela selon différents facteurs : l’auteur-source par exemple, l’institution ou la personne qui possédait ce document, son caractère unique que ce soit naturellement ou de manière forcée, ou encore par des projets spécifiques dans le contenu qui rendent le document incontournable. Tout ce qui est vieilli n’est pas du patrimoine, il ne faut pas oublier cela lorsque l’on gère les acquisitions.

Mis à part ces critères de sélection, des critères moins objectifs viennent s’implanter car la sélection vient aussi de discussions avec les différents responsables du fonds ou avec d’autres institutions mais aussi avec le monde de la recherche. Le patrimoine touche à tout le monde donc la nouvelle tendance est d’oublier les rivalités qui ont pu exister entre différentes bibliothèques, par exemple, afin de travailler ensemble sur ces différentes questions.

L’enrichissement des collections, au regard de ces différents critères, nécessite donc d’établir une politique d’enrichissement. Ceci nécessite d’avoir des connaissances sur les librairies d’antiquariat ou spécialisées, d’avoir des repères sur les grandes collections privées ou encore sur les ventes publiques. Vu les difficultés que peuvent engendrer l’acquisition de documents aussi précieux, il y a souvent recours au mécénat pour en acquérir de nouveaux.

Par Mélissa ALLARD, Hanane AYATELLAH, Thomas BARBIEUX, Stéphanie BRANCA et Jean-Sébastien FUNCK


Bibliographie

1 DESCHAUX, Jocelyne. « Protéger le patrimoine culturel : le bouclier bleu: de la prévention à l’intervention » [en ligne]. Bulletin des Bibliothèques de France (BBF). Publié en janvier 2016 [consulté le 29 avril 2017], n° 7, p. 58-68. Disponible sur le Web : <http://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-2016-07-0058-005>

2 DESCHAUX, Jocelyne. « Concevoir un plan d’urgence pour les collections patrimoniales [en ligne] ». In BiblioPat. ENSSIB. Publié le 16 mars 2009 et mise à jour le 13 janvier 2012 [consulté le 29 avril 2017]. Disponible sur le web : <http://www.enssib.fr/bibliotheque-numerique/documents/21199-concevoir-un-plan-d-urgence-pour-les-collections-patrimoniales.pdf>

3 DESCHAUX, Jocelyne. « Les plans d’urgence dans les bibliothèques : mise en œuvre en cas de sinistre » [en ligne]. Bulletin des Bibliothèques de France (BBF). Publié en janvier 2009 [consulté le 29 avril 2017], n° 1, p. 47-52. Disponible sur le Web : <http://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-2009-01-0047-007>

4 ENSSIB. « Qu’appelle-t-on un fonds patrimonial d’une bibliothèque » [en ligne]. In ENSSIB. Mise à jour le 3 avril 2013 [consulté le 30 avril 2017]. Disponible sur le Web : <http://www.enssib.fr/node/133634>

5 THILLIEZ-FERNANDES, Émilie. « Collections » [en ligne]. Parcours métiers du livre, cours initiation bibliothèque. Publié le 11 octobre 2010 [consulté le 30 avril 2017]. Disponible sur le Web : <http://formationmdl.free.fr/Files/cours_3_collections.pdf>

6 CRESPEL, Éric, DEBRAY, Carole, FRIOU, Natacha, et al. « Guide de l’utilisateur des fonds patrimoniaux: les spécificités liées à la nécessité de la conservation ». In Bibliothèque. Publié en 1996 [consulté le 30 avril 2017]. Disponible sur le Web : <http://www.bibliotheque.leschampslibres.fr/publics/etudiants-et-chercheurs/guide-de-l-utilisateur-des-fonds-patrimoniaux/>

7 BULLETIN DES BIBLIOTHÈQUES DE FRANCE (BBF). « La numérisation, Internet et le patrimoine » [en ligne]. Bulletin des Bibliothèque de France (BBF). Publié en septembre 2004 [consulté le 9 mai 2017], n° 5. Disponible sur le Web : <http://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-2004-05-001>

8 BULLETIN DES BIBLIOTHÈQUES DE FRANCE (BBF). « La numérisation, Internet et le patrimoine » [en ligne]. Bulletin des Bibliothèque de France (BBF). Publié en septembre 2004 [consulté le 9 mai 2017], n° 5. Disponible sur le Web : <http://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-2004-05-001>

9 ITIER-COEUR, Martine et LAVIGNE, Angeline. « La numérisation du patrimoine écrit et graphique : quel atout pour les régions ? » [en ligne]. Bulletin des bibliothèques de France (BBF). Publié en septembre 2007 [consulté le 9 mai 2017], n° 5, p. 101-102. Disponible sur le Web : <http://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-2004-05-001>

10 QUINCY, Laureen. La valorisation des fonds patrimoniaux dans les bibliothèques municipales. 1 vol. (79 f.). Mémoire de master 1 : Sciences humaines et sociales : Lyon, Université de Lyon, 2013

11 VANDEWALLE, Jean-Jacques. « Signalement, numérisation et valorisation : 13es journées des pôles associés et de la coopération » [en ligne]. In Bulletin des Bibliothèques de France (BBF). Publié en mars 2011 [consulté le 29 avril 2017], n° 2, p. 91-93. Disponible sur le Web : <http://bbf.enssib.fr/consulter/bbf-2011-02-0091-004>

12 DIRECTION CULTURE, SPORT ET JEUNESSE – SERVICE INVENTAIRE ET PATRIMOINE. « Inventaire et patrimoine en Bourgogne-Franche-Comté » [en ligne]. In Patrimoine en Bourgogne-Franche-Comté. [Consulté le 29 avril 2017]. Disponible sur le Web : <http://patrimoine.bourgognefranchecomte.fr/>

13 BIBLIOTHÈQUE NATIONALE DE FRANCE (BNF). Gallica [en ligne]. [Consulté le 29 avril 2017]. Disponible sur le Web : <http://gallica.bnf.fr/accueil/?mode=desktop>

14 VILLE DE LILLE. « Bienvenue sur la bibliothèque numérique de la bibliothèque municipale de Lille » [en ligne]. In Bibliothèque municipale de Lille. [Consulté le 29 avril 2017]. Disponible sur le Web : <http://numerique.bibliotheque.bm-lille.fr/sdx/num/>